D’abord publiée dans le quotidien L’Humanité, cette tribune, dont L’âge de faire est partie prenante, appelle à l’abandon de l’ordiphone et exige du gouvernement qu’il permette à tout un chacun de vivre sans prothèse connectée.
À mon avis, c’est en soi un problème. C’est son aspect pratique qui le rend dangereux. Tous les méfaits des appareils connectés sont démultipliés par le simple fait qu’ils soient trop facilement accessible en tout temps. C’est mauvais pour la séparation de la vie personnelle et personnelle, c’est mauvais pour la santé mentale, c’est mauvais pour les relations sociales.