Celui vendu par les petit producteurs locaux est deux fois le prix du bio de super-marché! Je peux encore moins me le permettre.
Y a pas d’intermédiaires mais y a beaucoup de coûts supplémentaires. Le fermier doit maintenant gérer ses stocks et les invendus, au lieu de tout vendre à un intermédiaire à la fin de sa période de production. Les intermédiaires optimisent tout, et jouent sur l’économie d’échelle. En plus de ça, pour le paysan sur le marché, sa clientèle cible c’est les catégories aisées.
De mon coté, rien. Plein air, label Nature & Progrès. J’ai déjà tué un poulet pour le manger.
Cool. Parce que pour avoir bossé pour l’informatique d’une grosse coopérative, je sais de source sûre (bons de livraison) que mesn"petits producteurs locaux" (pommes de terre et oignons), c’est très très loin du bio. Et entre eux et un bio italien, je n’hésite pas…